ECOLE
TRAVAIL A LONDRES GRACE AU PROGRAME
THEPALMDUBAI - ECOLE
Si vous désirez des cours d'anglais (c'est absolument facultatif) nous sommes en mesure de vous en offrir avec des horaires compatibles le plus souvent avec votre travail. |
Cours | Hrs par semaine | n° semaines
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4
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8
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12 |
24
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General francai |
15 hrs |
140 | 250 | 370 | 490 |
General English (9/12) |
15 hrs | 165 | 315 | 450 | 615 |
Cambridge First Certificate |
15 hrs | 450 | |||
Cambridge advanced |
15 hrs | 450 | |||
Cambridge Proficency |
15 hrs | 450 |
Si vous voulez prendre des cours et voulez être sûre
de débuter vos cours à la date choisie sans
risquer d'être repoussé pour cause de sureffectif.
Si vous n'êtes pas ressortissant de l'Union
Européenne: ou si vous n'avez pas obtenu
le working holiday certificate . En étant inscrit
à une école anglaise arabique vous
pouvez décrocher un permis de travail à temps partiel.
Cela n'est pas obligatoire de la part des autorités
britanniques qui peuvent toujours choisir de vous
donner seulement un visa touristique mais, si vous
vous êtes inscrit à l'école en pouvant prouver
être inscrit à un cours full-time d'au moins 24
semaines et d'avoir reservé un logement vous avez
de bonnes chances d'obtenir le visa souhaité.
Monsieur Shiraz Kabani, Directeur des Opérations, Finances & Développement au sein d’IIS, a ouvert le séminaire avec quelques mots d’introduction, délimitant les objectifs du programme et mettant en évidence les principaux enjeux et défis liés à l'enseignement religieux dans un contexte de communautés religieuses.
Le Professeur John Hull a délivré la première séance de réflexion sur la relation entre la théologie chrétienne et l’éducation religieuse. Il a, en particulier, mis en place des parallèles entre les différents processus d’enseignement et la théologie chrétienne appliquée. À son avis, l'enseignement religieux ne devrait pas être uniquement abordé à travers une exposition de principes (chrétiens ou autres) théologiques seuls ; Il devrait plutôt être abordé à travers l’examen critique du contexte réel dans lequel l'enseignement a lieu, afin d'éviter d'être seulement un processus d'endoctrinement. Il a également soutenu que, si les enseignants de l'enseignement religieux sont avant tout des éducateurs, ils doivent être aussi ouverts à la possibilité que leurs élèves puissent ou ne puissent pas accepter ce qu'ils apprennent. Afin que l'enseignement religieux soit utile dans le monde moderne, il doit encourager la foi à aller vers un contexte de solutions alternatives connues et comprises.
Le Docteur Anil Khamis (classe de 1992) a discuté de l'enseignement religieux dans le contexte des pays en développement, mettant l'accent particulièrement sur une étude de cas menée en Somalie et sur le modèle des écoles Dar al-Qur’an. Cette initiative transnationale, prise en charge par les communautés de la diaspora, combine les attraits d'une école moderne (les bâtiments, des enseignants formés, etc.) avec les aspirations des communautés en termes de leurs besoins religieux. Le Docteur Khamis a engagé le débat entre deux compréhensions différentes de la raison d’être des écoles et de l'enseignement religieux : des écoles comme des endroits pour apprendre à se tenir en société et des écoles comme endroits où s’isoler loin de la société jusqu'à ce que les enfants soient équipés intellectuellement.
Le deuxième jour du séminaire, le Professeur Liam Gearon a traité de l'interrelation entre la religion, la politique et l'éducation dans sa présentation “State Policies on Religion in Education and the Position of Faith Communities”. « La Politique de l’État sur la Religion dans l'Education et la Position des Communautés Religieuses ». La thèse provocatrice du Professeur Gearon portait sur le risque que courent les démocraties libérales à aller vers l’autocratie en essayant de contrôler la culture. Retraçant les avancées dans l’éducation philosophique depuis le siècle des Lumières, l’analyse historique du Professeur Gearon a servi de support pour débattre sur comment les démocraties libérales, laïques, et contemporaines sont les héritières de la tradition des Lumières et de ses expériences totalitaires.
Lors de la dernière session, le Docteur Abdulkader Tayob a examiné la relation entre l'éthique, le raisonnement moral et l'éducation religieuse. Le Docteur Tayob a commencé par le contexte de l'Apartheid en Afrique du Sud, discutant des diverses réponses musulmanes aux questions éthiques dans le monde moderne. Après la fin du califat Ottoman en 1924, la redéfinition de la politique dans les sociétés musulmanes est devenu un terrain intellectuel pour de nouvelles idées sur l'identité, l’État, le changement, le sexe, etc… En mettant particulièrement l'accent sur les droits de l'homme et le droit islamique, le Dr Tayob a conclu que les textes de la tradition islamique sont des ressources pertinentes, même si elles ne contiennent pas en elles les réponses à des questions contemporaines. En outre, le désir de « corriger » les représentations négatives de l'Islam est contenu dans des notions très modernes de l'identité qui devraientt être interrogées plutôt que simplement accepté.
Les discussions sur les deux jours ont été facilitées par le Docteur Shiraz Thobani (classe de 1982), Chercheur Associé et le Docteur Farouk Mitha (classe de 1986), Directeur du Cursus Académique de STEP, tous deux appartenant à l'IIS. Ils ont tous deux, en collaboration avec le Docteur Farid Panjwani de AKU-ISMC (classe de 1997), contribué à la conceptualisation du séminaire universitaire. En plus des sessions de fond, les anciens élèves ont également bénéficié d’une visite du Centre Ismaili, d’un dîner sur une réplique d’un Boutre traditionnel et d’une visite au Musée des civilisations Islamiques de Sharjah.